Chers Amis,
Bien que la formation de deuxième année ne soit pas encore terminée, (9 septembre) la liste des participants de votre promotion, va rejoindre la liste des certifiés ou en cours de certification. Vous allez donc, à partir de cette « news letter », être informé régulièrement des dates des différentes activités qui font du Groupement International des Praticiens en Etiothérapie un réel lien professionnel.
Afin de rester sur cette liste et être informé régulièrement, il est nécessaire, comme les anciens l’attestent, de participer à au moins – un postgraduate par an, – un CPA par an et au moins – un congrès tous les deux ans.
Postgraduate : Au nombre de trois par an. Ils servent, lors d’une journée, à nous réunir autour de différents sujets médicaux ou philosophiques traités à travers le regard de l’étiothérapeute. Les sujets peuvent être apportés et présentés par vous.
CPA : Connaissances Partagées des Acquis. Il y en a trois par an sur Paris et deux sur Nîmes. Ils permettent, lors d’une demi-journée, de partager nos expériences et de pratiquer à mon cabinet par groupe de cinq ou six. Il s’agit plus d’une supervision entre thérapeutes qu’une relation élève-enseignant. Cela libère vos capacités et me permets aussi de valider vos cliniques pour le certificat d’aptitude.
Le Congrès : Chaque année nous invitons différents intervenants afin d’ouvrir notre spécialité à d’autres techniques ou à d’autres visions scientifiques et philosophiques du monde. Le lendemain, une conférence de synthèse de cette rencontre se tient en même temps que l’assemblée générale du GIPE.
Pour vous laisser méditer, durant ces brèves vacances, voici quelques réflexions que m’apporte une récente expérience personnelle.
Equilibre entre l’allopathie et le travail holistique :
Au même titre que l’esprit incarné ne peut ignorer la réalité de l’état physique de la matière, de même cet état ne peut ignorer la mémoire inscrite en son sein.
La logique contradictoire, antagoniste de l’énergie ne met pas en évidence autre chose.
La loi des causes et des effets, caractéristique de l’état physique, permet à la chimie, à la chirurgie et à l’allopathie d’être la plus efficace dans ce milieu.
Mais on ne peut séparer le séparable du non-séparable. Ce qui veut dire que l’on ne peut ignorer l’intrication des trois états fondamentaux.
Notre action est une action dynamique qui met en évidence les mémoires immobilisées, obstacles à la conscience.
Cette action permet à la logique contradictoire et antagoniste de s’exercer et, dans un système complexe, de permettre l’adaptation.
Nous ne pouvons ignorer l’inertie de la matière, c’est-à-dire celle du temps qui relie les causes et les effets. Elle justifie le travail nécessaire de l’état physique de la matière.
La mémoire inscrite dans la matière reste présente (SAC) tant qu’elle n’a pas été envisagée et traitée par la thérapeutique, ce qui limite l’action chirurgicale, chimique ou allopathique.
L’exemple le plus frappant est celui de la loge énergétique d’une dent extraite dont la mémoire perdure alors que la réalité organique ou structurelle a été modifiée, hypothéquant le travail de reconstruction.
L’adaptation liée à l’interaction et à l’intrication des trois états de la matière ne peut s’exercer que si la logique globale du système s’effectue.
N’opposons pas allopathie et holistique. Servons nous de la contradiction, mettons les en synergie, toutefois sans oublier que c’est la mémoire qui gouverne, dans le non-séparable, l’agencement de ce qui Est.
Bel été.
P.Latour et le staff de l’IFE